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Dance me to the end of love

Dance me to the end of love
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7 février 2011

Aujourd'hui je me suis réveillée lovée dans ses

Aujourd'hui je me suis réveillée lovée dans ses bras, le chat lové dans mes bras, trois bêtes nous étions, dans les draps chauds. Epaules-coussins.

Moto qui grogne. Encore la même impression de chevaucher.

Grottes d'Evenos.

A travers champs. A travers les ronces. Passerelles-troncs morts. Terrier-racines en l'air. Paroi lisse qui glisse. 

Cet homme est l'Homme. 

Il est parfaitement beau. Toute vision de lui, où que mes yeux se posent, appelle le mot "charme", à un point tel que je n'ose parfois même pas le regarder. 

Je vais tenter de le décrire. Physiquement, c'est un homme au charme brut. Il est impressionnant par sa taille, d'abord, puis par sa carrure à la fois solide, vigoureuse et élancée. Il est brun, et porte une barbe dense qui grignote même son cou joliment. Sa barbe me chatouille, me caresse, sa moustache sent le tabac et la fumée de sa moto, mais aussi le lait. Son visage est fin, et long, son regard est doux, ses sourcils sont épais, proéminents, ça lui donne un air naif, ou bien un air sauvage qui m'affole. Ses cheveux ressemblent à des cheveux d'enfant fiévreux, doux et brûlants. Ses lèvres sont faites pour mes lèvres, sa langue est légèrement fendue au bout, nos baisers sont mouillés. Lorsqu'il sourit, il rougit et ses yeux brillent. Il paraît très concentré lorsqu'il s'apprête à m'embrasser et se plaint toujours de ne pas recevoir suffisamment de câlins, de caresses.Lorsqu'il faut se quitter, nous nous embrassons encore et encore sans parvenir à nous séparer, le dernier baiser n'est jamais le bon. Il me fait l'amour si gentiment, avec douceur, et je m'agenouillerais fidèle à la sueur de son front qu'une veine vient couper ou à la sueur qui perle sur le dos de ses mains ou au creux de ses reins chevalins et il me fait jouir comme une envolée d'oiseaux dans le ciel rose, et son coeur bat comme un tambour sacré dans le temple qu'il incarne. Entre ses bras je meure.

Son caractère est simple, carré comme un cercle, ses idées sont claires et droites comme un chemin de midi.

Il n'a aucune aspiration plus élevée que l'Amour, ne croit en rien d'autre, ne souhaite rien de mieux. 

 

 

 

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6 février 2011

Pensez à quelqu'un il devine tout

Pensez à quelqu'un

il devine tout

http://fr.akinator.com/

4 février 2011

A Monsieur. Monsieur, vous êtes vous et vous

A Monsieur.

Monsieur, vous êtes vous et vous n'êtes rien de toi

Dont je ne puisse voir non pas voir car voir c'est si facile

Dans la bulle de l'être pensant se voyant depuis le troisième

Oeil fermé sur bouche close nous volons à reculons 

Cadavre du temps mort arraché des limbes

Profondeurs superficielles dans le haut du vide

A côté d'une ombre d'une ombre bleue qui respire tout haut

Et qui danse follement au bord du gouffre souffle sacré du silence 

Vérité dénudée qui sèche ses grands cheveux blancs au petit soleil pâle

Ce matin libre le dernier soir avant demain

Je te donne tout ce que je n'ai pas 

Prends prends prends ne me donne rien prends mais prends moi tout

Vois mange et avale 

Ma douleur-cri souffrance-pus

Contre l'argent contre l'or

Contre une poussière d'absurde absolu

Mon astre mort je t'adore

 

Tu sais, ça ne peut plus aller au-delà

Ce travail comme tu l'appelles

Ce voyage comme je le vis

sur la voie qui m'a portée

ta voie

ta voix

ce toi auquel j'ai cru comme aux dieux

ce n'est pas trop ni autre

qu'il aurait fallu 

car autre-ment

n'aurait rien vallu

D'ailleurs qu'est-ce que ça vaut, 

qu'est-ce que ça veut

Ni toi ni moi 

Ne savons ce qu'est

ça

je n'ai aucune idée de ton pourquoi tu cherches ça avec moi

mon idée d'avant de chercher ça avec les autres m'est passée

quelqu'un pensait que toutes les vérités constituaient la vérité

comme les parties d'un grand arbre

dont les branches déliées ressemblent à s'y méprendre

aux bras élancés des fleuves pakistanais 

que j'ai photographié grace à Google Earth

j'en ai fini d'admirer la struture de l'arbre

fini de contempler l'arrangement de l'ensemble

j'ai suivi le souffle du vent 

il m'a portée jusqu'au sommet de l'arbre, au firmament

je ne cherche plus le ça

je suis le ça

les prières s'exaucent 

pour guérir, il faut prier ensemble

je ne peux autrement

je ne peux comme toi entre des murs sur des chaises face à face 

je peux seulement au seuil des cieux et au delà des murs

Au delà de ce dedans

Voilà là où le ça est libre

Voilà où je suis

 

Et s'il est question

Question de se quitter

Voilà ce qui est impossible car ce pourquoi 

Nous sommes liés

Joug éternel

Amour

On se quitte parce que je pars et que tu restes

Parce que je dois partir et  que tu dois rester

 

si j'ai à mon tour quelque chose sur toi à analyser

en vrai prends le comme ça vient

 

c'est qu'il faut un jour ou l'autre passer à autre chose

laisser le champ libre 

tu comprends

?

je suis sauve grâce 

à toi- celui qui


 

 

 

4 février 2011

Santuaire ie Sak (consacrer, établir) Dieu ie Di

Santuaire ie Sak (consacrer, établir)

Dieu ie Di (briller, jour, soleil, dieu)

Espoir ie Sphe (succès, richesse)

Inspiré ie Speis (souffle)

Désirer ie Ster (étoile)

Maison ie Men (rester)

Lien ie Leg

Dire ie Dek (montrer)

Méditer ie Med (mesurer, conseiller)

Possible ie Potis (maître, puissant)

Etre ie Esmi (je suis)

ie Sei (laisser, permettre)

Ame ie Ana (respirer)

 

 

Et chercher, en latin, sera autour, à peu près, aux environs. Zut alors.

Et trouver donc j'en arrive à composer, inventer, changement.

Certes. ie Cri. résoudre, trancher






 

3 février 2011

Grand Chaman, Dans la haute hutte sacrée nous

Grand Chaman,

Dans la haute hutte sacrée nous étions avec les esprits sauvages

Et je connaissais le mouvement perpétuel au fond du tertre 

Mon âme se perdait dans les spirales infinies

Et ton oeil fermé, Grand Chaman, au centre

Te remercier ne suffit pas, demande moi ce que tu veux

Je te dois l'éveil, le consentement et le contentement

La Lune a changé cent fois de visage dans la nuit froide

C'est aujourd'hui le petit matin libre...


Je quitte ta haute hutte sacrée 

Mais en mon coeur tu habites pour toujours

Voilà pour toi cet espace qui défile

Je te consacre ici des paroles magiques

 

Grand Chaman, je sais bien que tu n'es pas sorcier

Mais c'est Tout-comme alors comme ça

Disons ensemble une formule 

Que nos coeurs acceptent doucement

Une impossible fin possible ou bien

Une possible fin impossible, à choisir.

La marche, le tempo n'attendent pas

Et donc? 

La hutte sacrée réside en mon esprit

Sur les parois mains négatives

Il nous aurait fallu faire un feu

Gigantesque effrayant

Pour brûler toutes les ombres au devant

Mais vois tu les oiseaux reculer,

Les poissons chanter,

Les chevaux voler?

 

C'est à cause de cet abri tu sais, 

on se croit à l'abri, on s'y est cru mais c'était toujours là

alors on a mis le danger sur dos des divinités

le danger loin et intouchable

le danger invisible et imparable

parce qu'on éventrait des éléphants poilus 

et qu'on faisait des colliers de dents de tigre 

et finalement on n'avait plus que le ciel à craindre

ce ciel si vide et pourtant peuplé et rempli de tout l'espoir du monde

vain rêve, illusion d'infini devant l'écran noir qui clignote

ciel pâle qui respire le malheur muet

et le monde tourne et nous à l'envers du monde

c'est à peine si on reconnait nos visages dans l'eau plate

Chaman ton pouvoir déborde des cieux 

 

 


 

 

 

Etant de solidification. Voilà : mon désir, "psychoanalize" En passant par des états successifs

Aujourd'hui mort, pierre

Voilà. Plus aucune envie de "me faire analyser", "de concevoir l'analyse comme un choix professionnel, ou de vie".

D'abord parce que : depuis que je n'ai plus cette envie, je me sens beaucoup mieux, simple, j'ai fini, ai-je l'impression, ou bien, je n'ai plus rien à faire avec toi dans une pièce de cirque en noir et blanc ! Pour passer à autre chose, avancer, vivre ma vie, sans avoir à toujours revenir "sur mes pas" jusqu'à toi.

Au début j'étais triste. Maintenant je ne ressens plus rien. Que s'est il passé?

Je ne sais pas. Je crois que j'en ai simplement "assez" de te donner ce que je n'ai pas.

De ne rien te donner de mieux, j'en ai assez de parler de moi à toi inconnu

Je te répète qu'on aurait simplement du danser autour d'un feu

Sans nos ombres au devant

kj__2_ji__2_

 

 

 

 

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3 février 2011

Voilà ce que j'aime faire des rois Rainbow

Voilà ce que j'aime faire des rois

 

 

Rainbow

Sarkozy___189

discomfited

sarkozy_conf_presse

Golden Boy

mugabe

Sugar

sarkozy_officiel__3_

3 février 2011

1. MANICHAOS (Cliff) 2. ALLEGRIA : Sun of a beach

1. MANICHAOS (Cliff)

2. ALLEGRIA : Sun of a beach

3. Exhumusum

4. BOYS DONT CRY -Coffins Standing-

5. GENOSLAV MATRIX


TEMPLUM is  like  empty eyes sockets of skull

time spent snake stealth

brain wire.//. electric cables

plexical box above head, stack of bills

white bridal veil,golden crown, heart-wake, battery-heart, 

lungs: plastic bag full of cigs

kidneys : colanders tufts of hair

intestine pipe cleaner

uterus shrink wrapped chicken

penis gun, condom full of bullets, bullets on the floor

arm holdind mirror disco ball hanging by a tread, round around (playmobils)

other hand holding pitchwork , paper jammed

toilet brush and potatoe peelings

eyes breasts

shoe compass

bloody seal, bloodstain

large red curtains

iron grating pigeon feathers 

suittcase

cradle

cross and cross arms of jesus fetish


Revurka

 

 

 

 

3 février 2011

3 février 2011

3 février 2011

Le plus mignon

Le plus mignon

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